5 points faibles des femmes mariées qui profitent aux  maîtresses

Eh oui, mes sœurs ! Le titre de femme mariée ne suffit plus à garder un homme. Et la parodie véridique d’une chanteuse gabonaise l’a dit : « garde le titre, je m’en fous ! ». Cela fait mal. Mais c’est la vérité. Et il faut désormais se battre pour garder un homme après l’avoir conquis. Mais pour combattre, il faut d’abord connaître ses propres faiblesses. Voici quelques unes qui donnent de la force aux maîtresses.

1 – Il rentre tard. J’ai sommeil.

C’est vrai, ma sœur. Tu apprêtes la maison. Tu laves bien les enfants. Tu lui fais une très bonne cuisine. Tout ça, après une journée harassante au boulot. Tu l’attends pour partager le repas et monsieur a le toupet de se pointer à 2h du mat ! Et en plus, il veut que tu lui donnes à boire, lui serves à manger ? Et puis quoi encore ?

Pourtant, ma chérie, il faut te lever, lui sourire, l’aider à se dévêtir, l’inviter à se doucher pendant que tu réchauffes sa nourriture. Attends qu’il finisse de manger. Et invite-le au lit. Même s’il était chez une maîtresse, il aura des remords et pourrait ne plus y repartir.

S’il venait vraiment du travail, il sera encore plus amoureux de toi. Mais si tu le boudes et qu’il n’a vraiment rien fait de mal, ce manque d’attention va constituer un point de faiblesse qui te nuira un jour ou l’autre.

2 – Je suis mariée. Je m’en fous de mon apparence.

Après le mariage et avec les maternités, les kilos et la négligence dans la toilette s’invitent. Pour les kilos, certains hommes adorent ça. Il ne faut donc pas en faire tout un plat. Mais la négligence est impardonnable chez une femme. Ou du moins, chez une femme qui veut toujours plaire.

Alors, ma chérie, la première des choses qui retient chez une femme autre que la sienne, c’est une belle toilette, un corps propre et une senteur envoûtante. C’est dur. Je sais. Sacrifies un peu de ton temps pour être belle, sexy (mais pas vulgaire) pour ton homme. Tu ne peux pas ? Alors, ne viens pas te plaindre s’il découche !

3 –  Le sexe ? C’est une fois par mois. Point !

C’est connu. Bon, si tu ne connais pas encore, je t’informe : ma chérie, l’homme c’est le ventre et le bas-ventre. Contente ces deux hauts lieux de son contentement, et tu auras un mari content de t’avoir comme femme. Ma chérie, en vérité, je te le dis : rationne le sexe à ton homme et il ira voir ailleurs !

Alors, tu sais quoi faire désormais. Sois audacieuse car ce que tu lui refuses dedans, sache qu’il l’aura dehors.

Lorsque tu n’es pas dispo quand il en demande, trouve le moyen de le satisfaire. Use de tes mains et de ton imagination. Ça devrait aller !

4 –  Je ne me soumettrai pas. Je ne suis pas son esclave !

Ma sœur, je te comprends. Personne ne souhaite être l’esclave de personne. Mais parfois, dans la vie, on fait des compromis. Je ne dis pas ici qu’il faut que tu sois vraiment son esclave. Qu’il te bastonne sans que tu  ne dises rien. Qu’il te manque de respect et que tu fermes les yeux. Non. Un homme qui réagit de cette façon, il faut le quitter ou le remettre à  sa place.

Cependant, la plupart des hommes veulent simplement se sentir homme chez eux. C’est intrinsèque à eux. Tu as des doutes sur une décision qu’il a prise ? Approche-le, de préférence sur l’oreiller et murmure lui : « je pense que tu devrais… ou je crois que tu serais plus gagnant si… ».  Plus la peine donc de remettre en cause ses décisions sur le coup et surtout pas en présence de ses amis, parents ou des enfants. Un homme qui ne se sent pas homme chez lui, ira là où il se sent homme. Compris, ma sœur ?

5 – Il est gentil. J’en profite

Il y a des maris vraiment commodes. Ils n’élèvent jamais la voix. Ils sont gentils. Même quand ils souffrent, ils ne disent rien. Ils croquent et avalent. Ils sont prêts à t’aider à la maison : lavent le linge, font la vaisselle, torchent le bébé, le dorlotent pendant que tu dors, disent rarement non à ce que tu veux entreprendre, etc. Bref, des anges quoi ! Tu as donc l’impression que tu peux tout te permettre.

Mais, ma chérie, fais attention à l’eau qui dort et qui est calme. De tels hommes, une fois blessés, sont irrécupérables. Surtout, ne leur manque pas de respect. Trop bons, trop cons, certes, mais trop bons, ils peuvent devenir trop infidèles aussi. Ma chérie, n’oublie pas : l’ange que tu as, d’autres le convoitent.

Après tout ça, si tu dis que tu ne pourras pas le faire, il faudra que tu retiennes une bonne pour toute ceci : la vie est un perpétuel combat et rien n’est acquis définitivement.

Allez, heureux ménages mes chéries !

La Consolatrice


Photo : Galerie Tatouage

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