Environ une quarantaine d’acteurs de la société civile se sont réunis le vendredi 2 mai 2025 à Ouagadougou dans le cadre d’un atelier d’échange consacré à l’examen et à l’élaboration de la mise en œuvre du Plan d’Actions pour le Suivi du Développement (PA-SD). Cette rencontre à la fois technique et stratégique a été initié par le Conseil National des Organisations de la Société Civile du Burkina Faso (CNOSC/BF). Il avait pour objectif de renforcer le rôle citoyen dans l’évaluation des politiques publiques de développement.
Identifier les objets de plaidoyer sur les acquis et insuffisances relevés dans le rapport de performance 2024, élaborer des plaidoyers pour des pistes d’améliorations pour la mise en œuvre du Plan d’Action pour la Stabilisation et le Développement (PA-SD) 2025.
C’était l’objet principal de l’atelier de rencontre des acteurs de la société civile, organisé par le Conseil National des Organisations de la Société Civile du Burkina Faso(CNOSC/BF ) en collaboration avec des membres de la Troika Société Civile.
À travers des séances de travail en groupe, les participants ont passé en revue la note contributive du rapport annuel de performance 2024. De plus, ils ont également travaillé à l’élaboration de propositions concrètes pour améliorer la mise en œuvre du Plan d’Actions pour le Suivi du Développement (PAS-SD) en 2025.
En effet, cet atelier de forum préparatoire visait à faire émerger des recommandations en matière de gouvernance, de transparence et de participation citoyenne, éléments essentiels pour une meilleure efficacité des politiques publiques.
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Pour rappel, cet atelier de forum préparatoire s’inscrit dans le cadre du projet « Projet de consolidation du dialogue politique national dans le suivi citoyen des politiques publiques de développement », une initiative portée par le Conseil National des Organisations de la Société Civile du Burkina Faso (CNOSC/BF) dans FasoVeil, un cadre de concertation et de veille citoyenne sur les politiques publiques. Il est financé par le Laboratoire Citoyenneté.
Annick HIEN/MoussoNews
