Du voile, au lancé du bouquet, les échanges d’anneaux, au gâteau, ces coutumes lors des mariages, sont des rituels perpétuels à travers le temps. En Europe, en Asie, en Afrique, ces traditions se rejoignent et avec des significations précises.
Les traditions liées au mariage sont le reflet des croyances culturelles et spirituelles d’une société, en lien avec des coutumes historiques transmises de génération en génération. Voici les plus curieuses d’entre elles.
Le lancer du bouquet
Ce rituel trouve son origine au Moyen Âge en Europe. À l’époque, on disait que les mariées devaient tenir un bouquet de fleurs à la main pour masquer les odeurs corporelles, les bains n’étant pas fréquents ! Plus tard, la tradition a voulu que l’on lance le bouquet vers ses invitées, symbole de chance pour la jeune fille qui l’attrapait.

Le voile de la mariée
Dans la Rome antique, le voile servait à protéger la mariée des mauvais esprits lors de son grand jour. Il servait également à cacher le visage de la mariée jusqu’à la fin du mariage, afin de s’assurer que le marié ne reviendrait pas sur sa décision, car il se mariait souvent pour des raisons politiques, sans connaître sa future épouse.
Échange des anneaux
Ce rituel trouve son origine en Afrique, plus précisément dans l’Égypte ancienne, où les anneaux étaient échangés comme symboles de l’amour éternel, le cercle représentant l’amour sans fin.

La mariée portée pour franchir le seuil de la maison
Cette pratique remonte à la Rome antique, où l’on croyait que si la mariée trébuchait en entrant dans sa nouvelle maison, cela porterait malheur. Le marié devait donc la porter pour éviter cela.
Le gâteau de mariage
Dans la Rome antique, la tradition voulait que le gâteau soit brisé au-dessus de la tête de la mariée afin d’apporter fertilité et chance au mariage. Heureusement, on ne poursuit plus cette drôle de tradition !
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La mariée au bras de son père
Autrefois, les filles étaient considérées comme la propriété de leur père, et c’est donc lui qui était chargé de l’emmener devant l’autel à son « nouveau propriétaire » : le marié.
Source: Zeleb (FR)
Résumé de Diane SAWADOGO/ MoussoNews