Azerbaïdjan: Sa’adia Nabaloum sacrée Jeune Ambassadrice Internationale de la Paix

La pharmacienne burkinabè Soumayatou Sa’adia, la 1ère Jumelle a été sacrée ambassadrice de la paix internationale. Sur 42 initiatives, son projet est parmi les 3 meilleurs projets. Elle a été distinguée à Bakou, en République d’Azerbaïdjan, lors du Forum international de la jeunesse sur le multiculturalisme et la paix organisé du 22 au 27 août par l’Organisation Islamique pour l’Éducation, la Science et la Culture (ICESCO).

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Sa’adia Nabaloum,1ère Jumelle sacrée jeune ambassadrice de la paix.

Le projet de Sa’adia Nabaloum est parmi les 3 meilleurs projets au monde. Présidente fondatrice de l’Association pour le Bonheur des Personnes Nécessiteuses (ABPN), son initiative est baptisée « École de la Résilience ». Il vise à renforcer les capacités des enfants, jeunes filles et femmes déplacés internes ou en situation de vulnérabilité au Burkina Faso.

Sur 42 projets venus de divers horizons, seuls 3 ont été retenus dont ceux du Burkina Faso, de l’Égypte et du Turkménistan.

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Des jeunes au forum international de la jeunesse sur le multiculturalisme et la paix organisé du 22 au 27 août par l’Organisation Islamique pour l’Éducation, la Science et la Culture (ICESCO).

Une consécration internationale

Grâce à ce succès, Soumayatou Sa’adia décroche non seulement le prix du meilleur projet de la 3ᵉ édition du programme Leadership, Paix et Sécurité, mais se voit également attribuer le titre prestigieux de Jeune Ambassadrice Internationale de la Paix. Une reconnaissance qui souligne son engagement constant pour la solidarité, la justice sociale et la défense des plus vulnérables.

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Sa’adia Nabaloum est la presidente de l’association ABPN.Q

À travers l’ABPN, Nabaloum, œuvre depuis plusieurs années pour soutenir les personnes nécessiteuses au Burkina Faso. Son projet École de la Résilience se veut un espace de formation, de soutien psychologique et de renforcement des compétences, afin de donner une nouvelle chance à celles et ceux que les crises ont fragilisés.

Annick HIEN/MoussoNews

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