Dans les zones à fort défi sécuritaire du Burkina, 6 424 028 prestations de services ont été réalisée grâce à la mobilisation de 12 140 819 824 F CFA. Le bilan du mi-parcours du Cadre Sectoriel de Dialogue Santé (CSD) 2025 tenu le jeudi 7 août 2025.
Le ministère en charge de la Santé a engrangé des progrès au bilan du mi-parcours du Cadre Sectoriel de Dialogue Santé (CSD).
Entre autres 6 424 028 prestations de soins gratuites pour les enfants de moins de 5 ans et aux femmes pour un coût de 12 140 819 824 F CFA, le traitement préventif intermittent contre le paludisme de 234 972 femmes bénéficiaires sur une cible de 666 735 et la réalisation de 24 790 scanners et 1 929 IRM dans les hôpitaux publics.
A entendre le ministre, la revue à mi-parcours du CSD est une opportunité de passer en revue les acquis, les insuffisances afin de relever les défis du système sanitaire. Cela permet de définir les acquis et les réalisations déjà faites.

Des réalisations enregistrées à 6 mois de travail
Selon Sidwaya, 195 sorties en stratégies avancées ont été enregistrées au cours desquelles 6 314 femmes de plus de 40 ans ont bénéficié d’écho mammographies et 4 474 femmes ont été dépistées pour les lésions précancéreuses du col de l’utérus.
Le Ministre a également informe que son département compte poursuivre des investissements en matière de santé.
Selon Dr Lucien Kargougou, la construction de 29 postes de santé communautaires, la reprise des chantiers de transformation des Centres de santé et de promotion sociale (CSPS) en Centre médical communal (CMC), la construction des centres de réanimation et le renforcement de la protection de la santé de la population sont pris en compte pour le reste de l’année.
Le ministère travaillera à assurer un grand accès des populations à des soins de santé de qualité et adaptés en termes de perspectives et de priorités consignées dans le Plan d’actions pour la Stabilisation et le développement 2025-2027 du secteur de la santé. « Les principales difficultés rencontrées portent sur l’insécurité rendant difficile certains travaux dans certaines zones d’intervention », a déclaré Dr Lucien Kargougou.
Source : Sidwaya
Astrid BAMA(Stagiaire)/MoussoNews