Insurrection populaire : 10 ans après, la Transition d’Ibrahim Traoré, un espoir selon Juliette Kongo

La Transition actuelle que dirige le Président Ibrahim Traoré incarne les idéaux de l’insurrection populaire selon la princesse Juliette Yabré Kongo, femme traditionnaliste et politique burkinabè. Au premier rang de la lutte pour une bonne gouvernance, elle se souvient du 31 octobre 2024 comme si c’était hier.

« Le 31 octobre 2014 est une date souvenir de la lutte du Burkina Faso pour sa libération », rappelle Princesse Juliette Kongo, promotrice du musée de la femme de Kongiuelssé. 10 ans après, la princesse dit se rappeler comme si c’était hier. A cette date, chaque burkinabè s’est senti responsable de la destinée du pays. « Une grande leçon qui malheureusement n’a pas été comprise par certains et sont toujours dans l’adversité avec le pays à travers des actes malhonnêtes », déplore-telle. De plus, Juliette Kongo déplore de ce que les femmes n’ont pas été comptées après l’insurrection. « Les femmes ont été en première ligne de cette lutte. Mais, au finish, elles ont été déçues. Les femmes ont peur de s’engager mais quand il a été question de l’insurrection populaire, elles étaient au-devant de la lutte », a-t-elle rappelé. Toutefois, le souhait des femmes est le retour de la paix dans le pays.

La Transition d’Ibrahim Traoré, un espoir pour les Burkinabè

Pour Juliette Kongo, la Transition d’Ibrahim Traoré incarne les idéaux de l’insurrection populaire de 2024 et donne espoir que le chemin emprunté est le bon. « La Transition est venu à temps pour ramener dans la dynamique de la communauté, de la valorisation du patrimoine, du vivre-ensemble, etc.. C’est pourquoi, nous travaillons d’arrache-pied et prions pour qu’elle puisse réussir », détaille-t-elle. Le Capitaine Ibrahim Traoré et son équipe, a-t-elle ajouté, sont en train de travailler afin de permette à toute l’Afrique de se départir de ce que les occidentaux ont toujours imposé. « Ibrahim Traoré donne espoir au Burkina, à l’Afrique et au monde », foi de Juliette Congo.

Julie Jessica/MoussoNews