La Cedeao ne sanctionne pas le Burkina Faso, après le coup d’Etat militaire du 24 janvier. L’instance sous-régionale recommande toutefois au nouvel homme fort de Ouagadougou de donner un chronogramme assez raisonnable de sortie de crise pour aller aux élections. Réunis ce jeudi 3 février à Accra au Ghana, le dossier burkinabè était entre autres à l’ordre du jour.
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