Banque africaine de développement (BAD) : les femmes en avant au Conseil d’administration

Le nombre de femmes au Conseil d’administration de la banque Africaine de développement (BAD) connais une légère hausse, passant de trois à cinq.

La Banque africaine de développement est la principale institution du financement du développement en Afrique. Lors des assemblées annuelles qui s’est tenue à accra, elle a accueilli 12 nouveaux administrateurs pour un mandat de trois ans composés de 5 femmes. Il s’agit de :

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  • Malika Dhif de nationalité marocaine, elle est la nouvelle administratrice pour le Maroc, le Togo et la Tunisie, jusque-là elle était la chargée des relations de coopération avec le monde arabe et islamique, l’Amérique, l’Asie et les institutions internationales.
  • De nationalité danoise Mette Knudsen avec pour mission de défendre les intérêts du Danemark, de la Finlande, de l’Inde, de l’Irlande, de la Norvège et de la Suède. Jusqu’à sa nomination elle était la représentante adjointe chargée des affaires politiques, et assistante des Nations unies en Afghanistan.
  • Oren Elaine Whyche représente les États-Unis d’Amérique au Conseil d’administration de la Banque africaine de développement, elle dirige les activités du Bureau concernant le secteur privé, l’accès financier et le développement du commerce sur le continent et l’engagement de l’USAID auprès de la diaspora africaine aux États-Unis et aussi le Bureau du développement durable de l’Afrique de l’ouest.
  • La sud-africaine Nomfundo Xenia Ngwenya représente l’Afrique du Sud, l’Eswatini et le Lesotho. Elle a auparavant servi aux services secrets sud-africains et a enseigné la politique internationale et africaine à l’Université d’Afrique du Sud et est titulaire d’une maîtrise en politique de l’économie mondiale. Experte comptable directrice administrative et financière du bureau régional de la Banque mondiale au Mali.
  • Chantal Modeste Nonault représente désormais le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, la République démocratique du Congo et le Tchad.

Mariam LINGANE /Stagiaire

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